19heure pile, à table!

Eliot continuait de fixer Lëanë. Peut être devrait-il arrêter, peut être ce-ci était gênant pour la jeune fille qui était timide. Mais Winstown ne pouvait pas s'en empêcher. Lorsqu'elle répondit, Eliot laissa s'échaper un son d'admiration, un petit 'Waaaa'. Mais il se repris vite.

- Trop la classe!

Se rendant compte de la manière dont il avait parler, met rapidement ses deux mains devant sa bouche. Il jetait descoup d'oeil un peu partout, cherchant à savoir si quelqu'un l'avait entendu parler comme ça. Sûrement Lëanë, c'était elle qui était la plus proche d'Eliot. Il baisa finalement ses mains pour aprler à nouveau.

- Je...enfin... Ne t'inquiète pas! Je ne le dirais pas!

Winstown porta une mains à son coeur, se frappa légèrement la poitrine en même temps.

# Tu te rend compte Elé ? Elle connait sûrment des Gitans alors. Et peut être même qu'elle n'a pas les préjugé qu'on les autres Bourgeois, non? #
# Oui! C'est trop chouette! Dis, dis, j'pourrais parler comme je veux avec elle ? Hien ? Dis oui s'il te plait! #
# On verra, on verra. Je ne veux pas non plus que tu paraîsse impolis. N'oublie pas que nous somme dans une école réputé et que si on nous surprend à ne pas parler correctement, on peut être réprimandé et peut être même que les direteurs se permetterons de prévenir mes parents alors...fait attention quand même. #

Eliot réalisait enfin que peut être, quelques enfants bourgeois ne m'éprisaient pas les Gitans comme d'autres le faisaient. Peut être que certaint élèves ici comprennaient ce qu'était le faite de se sentir libre, de pouvoir être sale sans se faire disputer à tout bout de champ, de pouvoir s'amuser come on le voulait, de ne pas être obliger de rester sage à discuter ou à écouter ce que les autres disaient...
Peut être qu'enfin le gamin désobéirait enfin, peut être qu'il retournerai sur les quais pour jouer avec les Gitans peut être, masi aors, certainement pas tout seul, et pas maintenant...

[hj:

C'est quoi sa? Mais j'ai raté plein de trucs! T_T Qui voudrait bien me faire un résumé? xD J'ai trop la flemme de tout lire la... Shocked

]

Lorsque la directrice avait parlé, Arwen était revenu a elle. Elle était enfin dans son état normale.
¤Ben, c'est pas trop tot! >_<¤
¤C'est pas toi qui vient de te ridiculiser! Alors CHUT!><¤
¤Olala! Mais sa va! Calme toi!¤
Lorsqu'elle tourna le tete vers Lëanë, elle remarqua un nouveau. Et Lëanë était en pleine discussion avec lui.

¤Tu crois que sa va etre le coup de foudre?¤
¤Tu pense qu'a sa toi!¤

Puis, Arwen regarda Mathew. Il avait l'air...bizzard...Il ne lui avait même pas adréssé la parole, pendant son "choc emotionnel".
¤Dit, tu crois qu'il me détéste?¤
¤Mais nooooon!¤
¤T'en es sûr?¤
¤Mais ouiiiiiiiiiiiiiii!¤
¤Bon, arete de te moquer de moi!><¤
¤Mais nooooooooooooooooooonnnn!¤

Arwen ne lui répondit plus. Il se moquait d'elle, et elle n'aimait pas sa.
A présent, elle cherchait quelqu'un avec qui parler.

[HJ : héhé, ma pov' >_< Bon, heu, en gros... y a les directeurs qui ont fait leurs tits discours et un nouveau qui est arrivé en retard, et j'ai parlé un peu avec lui ^_^ Mais je te conseille de lire les posts, parce que le plus intéressant est dedans XD ]

En entendant l'exclamation d'Eliot, Lëanë eut un sursaut, et elle planta ses yeux dans ceux de son interlocuteur, cherchant à savoir où il avait appris de tels mots - sûrement pas chez les bourgeois. Pourtant, il avait un nom qui correspondait entièrement à cette dernière classe sociale, alors... ?
Un sentiment de soulagement l'envahit quand il jura de ne pas le répéter, car elle avait eu peur, un instant, malgré la sympathie qu'il lui inspirait, qu'il se moque d'elle et le dise à tous les autres. Elle mumura un petit "Merci" et continua à le fixer, torturée par un terrible dilemme : allait-elle ou non lui demander où avait-il connu ces mots, cette phrase, ou non ?
Elle avait très peur de se ridiculiser, mais en même temps, elle brûlait de savoir : ce n'était pas courant, et cela représentait un espoir pour elle de ne pas être méprisée, ou, du moins, d'être soutenue par quelques personnes, comme lui ou... Arwen !
Elle se rappela soudain de son amie, et regarda à ses côtés, afin de savoir si elle était enfin sortie de sa léthargie. La jeune fille constata qu'elle le semblait, en effet, car Arwen semblait cherche des yeux quelque chose - ou quelqu'un. Lëanë lui sourit, mais ne savait trop quoi dire, car Matthew n'avait pas l'air de lui parler... elle n'avait pas trop fait attention à regarder de leur côté, absorbée d'abord par la peur que lui inspirait la directrice, puis ensuite et surtout, par sa discution avec Eliot.

Arwen remarqua le sourir de Lëanë. Et elle lui le rendit. Puis, sa raprocha d'elle, et lui murmura à l'oreil.
Dit, c'est qui ton compagnon?
Sayky, lui observait le deamon du garçon.
¤Tu trouve pas qu'il est bizzard?¤
¤Un peu ouai...enfin, pas bizzard, mais il a des mannière...Enfaite, pendant ton choc, je les obsérvés, surtout le deamon, et ses manieres, ne sont pas dignes, d'une famille bourgeoise...¤
¤A? Tu veux dire que ce sont des...des gitans? ici? A Jordan Collège?¤
¤Ben...¤
¤Mais n'importe quoi! Il n'y a que les bourgeois, qui peuvent venir ici! Cette école à une réputation a entretenir! Et ce ne sont pas des gitans, qui vont le faire!><¤
¤Mais comme tu es méchante toi!¤
¤A bon?¤
¤Oui!><¤
Arwen ne répondit plus à Sayky, ne sachant quoi dire. Et attendit une réponse de Lëanë, et commença a regarder autour d'elle. Et remarqua de nouvelles personnes dans la salles.

Lëanë prit la parole, avec un ton heureux, car elle l'était, heureuse, de pouvoir faire des présentations : elle ne l'avait jamais fait encore, car il fallait trouver deux personnes à la fois qui ne se connaissaient pas et qui lui accordait autre chose qu'un regard lourd de mépris. Alors, avec de grands gestes - peu dignes d'une petite fille bourgeoise de bonne famille, elle répondit à son amie :

"Il s'appelle Eliot Christopher Winstown (elle était radieuse d'avoir pu retenir le nom en entier) et... et il vient d'arriver, et voilà !"

Puis elle se tourna vers celui-ci, et prit l'initiative de présenter également Arwen :

"Eliot, je te présente Arwen, une... amie !" (elle avait hésité sur le mot, tellement étonnée elle-même de pouvoir dire enfin ces paroles). La jeune fille semblait illuminée intérieurement, car elle pouvait considérer désormais (du moins l'espérait-elle) qu'Eliot serait également son ami. Ainsi, elle en aurait deux ! Elle exultait. Peut-être même... La voix de Nytsua, avant même qu'elle eut le temps de finir de formuler sa pensée, résonna dans sa tête :

*Tu penses faire ça ?*
*Je... pourquoi pas ?*
*T'aurais vu la tête que tu tirais quand la directrice t'a surprise tout à l'heure... et la sienne, à elle... Et si on se faisait prendre ?*
*Maman ne serait sûrement pas très contente, c'est sûr, mais... ça me manque tellement, j'ai déjà des fourmis dans les jambes, à rester assise sur ce banc ridicule, dans cette robe encombrante !*
*ça...*
*En tout cas, avant que je n'ose leur proposer de faire ça, ils...*
*Parce que tu comptes réellement les entraîner avec toi ?*
*Ben... oui ?*
*Tu es définitivement folle, ma pauvre !*
*Tu peux parler !*
*Hmmff*

L'hermine bondit de l'épaule de Lëanë, se transforma en petit papillon rouge et noir, et partit voleter le long de la grande table. Au bout d'un moment, toutefois, elle dut revenir, car elle et son humaine commençaient à ressentir le lien qui les unissaient leur tirailler le ventre.

*Tu es vexée ?*
*Non...*
*Je... désolée, je... je voulais pas que... tu... enfin...*
*Mais arrête de t'excuser ! Tu vois, c'est comme une maladie chez toi, tu crois toujours que c'est toi qui a fait le mal !*
*Oh, Nytu...*

La jeune fille leva la tête du papillon qui s'était posé sur son doigt, afin de suivre l'évolution des présentations entre ses deux... amis (elle n'en revenait toujours pas).

Lorque Lëanë avait dit qu'elle était une amie. Arwen s'était sentit toute légère. Elle était hereuse. Elle avait une amie!
Puis, elle reporta son attenion sur le garçon, qui s'apellait Eliot.
Enchantée de te connaître Eliot! Je te présente mon deamon, Sayky.
Elle fit un coup de tête dans la direction de son deamon.
Sayky continuait à observer le deamon du garçon. Il n'avait même pas ramqrué qu'Arwen l'avait présenté.
¤Pourquoi t'arete pas de les regarder?¤
¤Ben quoi? j'ai pas le droit?¤
¤Non! C'est impolie!¤
¤Olala! Toi et ta politesse!¤
¤Arete de toujours me contredir Sayky! On dirait que tu me deteste! Un deamon et son humain, doivent s'aimer! Il ne font qu'un!¤
¤Ouai, ouai...¤
Sayky savait bien que parfois, il avait du mal a s'entendre avec Arwen. Et cela le faisait souffrir, autant qu'Arwen, mais que pouvais-t-il y faire? Il avait beau faire des efforts, à chaque fois, ses efforts ne servait a rien...

Lëanë n'avait rien remarqué de l'altercation de sa voisine de table avec son daemon (malgré la télépathie, elle aurait pu surprendre la lueur quelque peu furieuse dans les yeux d'Arwen), mais ses yeux à elle ne cessaient d'aller et venir d'Eliot à Arwen, et d'Arwen à Eliot, avec un sourire sur ses lèvres fines. Elle eut une mine satisfaite et réjouie quand son amie affirma qu'elle était enchantée de connaître le garçon - bien que les bourgeois qu'elle rencontrait aux réceptions de sa mère lui disent également cela, alors qu'elle savait très bien que c'était faux, elle sentait que chez Arwen, ce n'était pas de l'hypocrisie.

Par contre, à force de ces aller-retours, la jeune fille remarqua que Sayky fixait quant à lui Eleonor, le daemon d'Eliot. Elle n'en fit toutefois pas grand cas au début, puis fronça les sourcils, avant de se détendre : ça devait être une éducation particulière qu'avait reçu Arwen, se dit-elle, dans sa naïveté quelque peu enfantine, en songeant à la façon dont son amie avait, peu de temps plus tôt, fait de même avec Matthew.
Cela la soulagea doublement, car du coup, peut-être qu'Arwen n'aimait pas le garçon, en fait, c'était juste une manière qu'elle avait !

Eliot avait toujorus la main au coeur, ça faisait un moment peut être...Pourtant il n'était pas bloqué non, loin de là. Mais il sentait quelque chose qui bougeait sous sa mains, quelque chose qui faisait un petit 'boum, boum'...Mais il fut sortit de son importante écoute par Lëanë qui, semblait-il, le présetait à une dénommé Arwen. Il tourna la tête pour regarder la jeune fille et lui souri, retirant enfin sa main de sa poitrine.

# Qu'est ce qu'il à a me regarder comme ça l'autre?#

Evidemment, le fait de Sayky regarde Eleonor ne lui faisait pas telement plaisir, elle n'aimait pas être regarder, surtout pas comme ça...

- Pourquoi tu m'regarde comme ça toi!?
- Eleonor! Parle correctement! Je t'en pris!
- Pas tant que l'autre imbécile il me regardera comme ça!

Eliot commençai à rougir un peu...il était géné du comportement de son deamon. Pourtant, il lui avait bien dit de parler correctement masi elle n'en faisait qu'a sa tête, surtout lorsqu'elle était en colère...

- Je..désolé, Arwen. Sinon, content de faire votre connaissance.
- Pas moi. J'aime pas son deamon, j'aime pas comment il me regarde!

Il inclina légèrement la tête pour la saluer comme il se doit. Puis regarda à noveau son deamon qui s'était mis en boule, mettant en valeur la taille de ses piquants plutôt pointus...
Eliot glissa sa main sour la boule de pique puis la monta à la hauteur de ses yeux. Il brandisait son index devant le hérisson.

- Eleonor! Vous allez immédiatement vous calmer ou c'est moi qui vais me fâcher!

Pas de réaction extérieur de la part du deamon.

# J'me calmerais pas tant qu'l'aura pas arrêter dm'e regarder! D'abord! #

Elle savait qu'Eliot ne sénerverait pas, surtout pas en publique parce que, lorsque celà lui arrivait, de s'énerver, il avait plutôt des propos injurieux et très peu bourgeois. Alors mieu vallait évité les dispute ici...

Arwen fut étonné de la réaction du deamon d'Eliot. Elle fussila du regard Sayky. Elle voulait disparaitre, tellement elle avait honte de son deamon, qui était sensé être une partie d'elle même.
¤Sayky! Arete de suite de regarder l'autre! Je t'es déja dit que sa ne se faisait pas! Et en plus, sa va finir par déclencher une bagarre! Je ne veux pas me faire d'ennemis!¤
¤Je ne veux pas areter! C'est mon droit non? Et puis, ce n'est pas toi qui te fera des ennemis, mais moi! Alors arete de me dire ce que je dois faire!¤
Arwen ne lui répondit plus. Elle était surprise par les parole du deamon du garçon, qui devait s'appeler Eleonor. Son vocabulaire n'était pas correcte. Et comment un deamon aurait pu apprendre ce language, sans cottoyer, ceux qui l'emplois? Ou meme, être l'un deux peut'être...
Mais Arwen décida que l'urgence pour le moment, c'était Sayky.
Elle commença à rougir. Cela se remarquait beaucoup, à cause de son teint pâle. Ensuite, ses yeux changèrent de couleur, et prirent une teinte rose. De toute évisence, elle avait honte. Honte de Sayky. Mais en même temps, elle avait peur. Peur qu'une bagarre dégénaire, et qu'elle soit tenu pour responsable. Elle ne voulait pas se faire remarquer. Ou du moin, ne pas se faire remarquer en mal. Soudain, des ailes jaillirent de son dos. Celles-ci était grande, rose, et ressemblait a celle d'un papillon. Arwen commença a paniquer.
Sayky ne remarqua pas de suite ce qui se passait. Mais lorsque ce fut fait, il commença a paniquer lui aussi.

De toute évidence, le deamon d'Arwen ne voulait pas arrêter de regarder Eleonor. Elle se tourna vers Sayky et le regardait, méchament avant de sifler entre ses dents:

- Arrête immédiatement de me regarder ou j'vais te bouffer!

# Sa suffit Eleonor maintenant! Tu arrête!#

Elle se laissa tomber de la main d'Eliot et alla se mettre dans la poche de celui-ci. Elle était toujours énervée...Oui, Eleonor n'aimait pas être regarder trop longtemps, elle se trouvait...transpercer par le regard et elle n'apréciait pas du tout.

- Je suis vraiment désolé pour le comportement d'Eleonor. Elle n'aime vraiment pas être fixée...Alors si...si vous pourriez demander à votre deamon d'arrêter, s'il-vous plait...

Il était sérieux, très sérieux. Lorsqu'Eleonor s'énervait, ce n'était pas rien. Ce n'était pas forcément rare mais ce n'était pas non plus des colère simple et rapide. Il arrivait qu'elle boude pendant plusieur semaines, sans rien dire, même à Eliot, qui n'a pourtant par focément fait quelque chose, lui..Et puis aussi, il y avait les colère assez vulgaire et qui pouvait dégénéré, vraiment. Mais elles n'étaient jamais, au grand jamais violentes.
Eliot supliait presque Arwen d'empêcher son deamon de fermé les yeux, oui, s'il pouvait le faire, ou au moins détourner le regard pour ne plus le poser sur Eleonor...Juste le temps qu'elle se calme et pourquoi pas même après. Vraiment, Winstown avait horreur d'être en froid avec son deamon. Il l'aimait trop, beaucoup trop pour ça. Même là, il était triste, horriblement triste qu'elle ne veulent pas ce calmer, qu'elle ne veulent pas l'écouter...
Le deamon le savait, mais elle était tétue et avait aussi son carractère. Ils n'étaient pas tout à fait pareil. Si Eliot ne s'énervait presque jamais, pour Eleonor, c'était presque le contraire, enfin...presque, heuresement. Mais lorsqu'elle est énervé après quelqu'un, elle l'est aussi après son humain, même s'il n'a vraiment rien à voir là dedans. Mais elle est comme ça, cette petit motiée qu'il aimait tant...

Lëanë, après s'être détendue, fronça à nouveau ses sourcils fins,qui surmontaient des yeux d'une couleur pourtant habituellement plus ou moins noire avaient viré au rouge, comme cela lui était souvent arrivé dans son enfance, à cause de ses vaisseaux sanguins très fragiles, qui cassaient lors d'une forte émotion. En effet, cela semblait à présent étrange que Sayky fixât ainsi Eleonor, car cette dernière avait commencé à parler d'une manière peu bourgeoise... Et... Eliot qui lui demandait d'arrêter... Son malaise la reprit soudainement, car elle avait à préseent peur que ses deux amis ne s'entendent pas à cause de cela, et elle était très fatiguée. Sa peau repris une couleur pâle, mais Nytsua tenta de la secouer. Elle prit l'apparence d'un singe et donna de petites claques à la jeune fille, tout en lui secouant le bras et en lui parlant intérieurement :

*Lëanë ! Lë ! Hééé, t'évanouis pas, c'est rien ! Ouhouuu !*
*Ny... Nytu, je me sens pas très bien...*
*Aussi, tu n'as quasiment rien mangé, tu es fatiguée, et tu as eu beaucoup d'émotions ce soir... Heureusement que le repas est bientôt fini, il est temps que tu te reposes un peu.*
*Oui... tu as raison... s'il-te-plaît, garde-moi consciente, je ne veux pass m'évanouir maintenant !*
*Ne t'inquiète pas...*

La jeune fille se força à sourire très légèrement pour rassurer son daemon, mais elle ne se sentait pas bien mieux, mais au moins, elle savait qu'elle ne défaillirait pas immédiatement. Cela l'agaçait au plus haut point, d'être aussi fragile, aussi faible. De plus, cela ne semblait pas s'améliorer avec le temps, au contraire. Elle avait eu deux malaises dans la même soirée, alors qu'auparavant, bien qu'elle du surveiller un peu sa tension, elle ne s'en était pas tellement inquiètée...

~¤~

[ tout le retard que j’ai pris -.- j’ai tout lu quand même ^^]

Trop s’en était trop, un vacarme accompagné d’une certaine tension se faisait sentir du côté de la table des élèves. Est-ce trop leur demander de se tenir comme leur demande l’éthique bourgeoise anglaise, n’étaient-ils pas tous censés l’appliquer à la lettre depuis leur premier souffle ? Non pas tous…Mademoiselle Sirka n’était pas sans ignorer certain contact de certain de ces fils et filles d’aristocrates avec des…Gitans, Andréa ne pouvait pas les blâmer pour cela, elle aussi dans sa jeunesse lui semblant bien lointaine sans l’être pourtant courrait les rues avec ces va-nu-pieds aux milles jeux, aux milles aventures…Non la jeune fille devenue femme ne pouvait pas les réprimander pour un comportement qu’autrefois elle avait adopté…Cependant, elle pouvait en informer les autres élèves…Les enfants sont si cruels entre eux parfois…

Tournant son regard froid vers ces « charmants bambins » elle s’aperçut que l’une d’entre elle avait fait apparaître ses ailes d’insectes…Les limites étaient dorénavant franchies, il faudrait être sévère, plus que d’ordinaire si cela était possible, il fallait leur montrer se qu’il risquaient en agissant de la sorte…Andréa se tourna vers Valentin pour lui parler si fort, ni en chuchotant…De toute manière les élèves étaient tous bien trop loin pour ouïrent quoi que se soit…

« Ultérieurement à mon départ j’aimerais que vous veillez à se que les élèves rejoignent tous leur dortoirs dans le plus grand silence. Bonne nuit. »

Sur ceux elle se leva, laissant son assiette pleine sous le regard inquisiteur de son deamon qui ne la suivit pas, pas tout de suite…D’une voix forte qui pourtant n’était pas criarde la directrice des lieux pris la parole s’adressant à l’ensemble des pensionnaires présents.

« Après la catastrophe de votre arrivée vous n’avez pas la décence de vous conduire de manière calme conformément à votre rang lors de votre dîner. Jordan n’est pas une cour de détente. »

Les regardant de son regard sombre sans pour autant donner l’impression qu’elle les fixait, Andréa les laissa absorber ses paroles en marquant une pause.

« Deux erreurs, à la troisième je n’aurais que pour unique devoir celui de vous punir…Avec sévérité, celle digne de ces lieux, de votre rang ainsi que tu mien qui d’ordinaire devrait être similaire non ? »

En posant cette interrogation elle fit virer légèrement son regard vers la table de ceux ayant dans leur dossier le mot Gitans inscrit à l’encre noir. Andréa regarda ensuite le pendule trônant dans la vaste salle, 20h elle devait se rendre à un entretien…L’accueil de son majordome privé, cet personne étant destiné à l’aider quotidiennement en s’acquittant des basses besognes et petites broutilles.

« Sur ceux bonne nuit, terminé ou pas, le dîner et clos. »

Aussi sèches que ses talons claquant sur le sol les paroles quelle prononcées clôturèrent le repas, son deamon étirant ses longues ailes noires traversa la salle pour se poser sur les épaules de son humaine. Andréa sortit par la grande porte se rendant en son bureau de digne dirigeante.

Quelle galère...Eliot essayait tant bien que mal de calmer Eleonor mais en vint. Elle avait fini par se taire, s'ayait, elle boudait...Winstown leva les yeux au ciel et sursauta lorsque la voix de la directrice retentie. Ses yeux allèrent directement se 'poser' sur la directrice qui s'était levée. Eliot rougit en entendant les propos justes de la jeune femme. Oui, il n'avait pas eut le comportement Bourgeois qu'il devait avoir, que ses parents lui avait dit de gardé dans cette école. Mais aussi, il s'en voulait de ne rien avoir avalé, il n'avait fait que parler et parler alors qu'il était sencé manger...Tant pis, son estomac vide devrait attendre jusqu'a demain matin...
Il porta sa main dans sa poche et carrésa le museau froid du petit hérisson blotit dans la veste. Il y cherchait un peu de réconfort mais n'en trouva pas, il n'en trouvait jamais lorsqu'Eleonor était en colère.
La directrice partit et Eliot la suivit du regard, elle avait une démarche plutôt stricte, séré peut être, tout comme ça tenue. Le jeune garçon remarqua que si l'on hôtait tout cet acoutrement stricte cette directrice pourrait paraître bien plus jeune et surtout être plus belle. Oui, cette peau blanche, habituelle au bourgeois, allait parfaitement avec les yeux et la chevelure extrêment sombre.
Oui, elle était tout simplement belle, il fallait l'avouer...

- Bon et bien on va y aller...

Il avait disa doucement, en peu plus pour lui même que pour les autres. Mais cependant, il ,e savait pas s'il devait sortir directement ou alors attendre l'autre responsable, qui était toujours assis à la table réserver pour le personnel important de Jordan Collège. Oui, il faudrai si fait, il ne pourrait plus, vraiment plus agir comme bon lui semble sinon il risquerait d'avoir des ennuis. Il devrait faire attention à Eleorno, prendre le temps de lui expliquer ce qu'elle ne voulait pas comprendre...
Eliot préféra attendre, voir ce que les autres élèves feraient, voir ce que le co-directeur ferait aussi.

C'était avec des gestes lents et sûr que Valentin mangeait son modeste repas. Il entendait malgrés lui les conversations des élèves mais il ne les comprenait pas toutes, puisse qu'il n'y en avait pas qu'une, les élèves parlaient à leur guise, en même temps ou non, mais c'est vrai que c'était assez bruyant, surtout pour l'ouïe fine et délicate du jeune homme. Ce pouvoir d'ailleur n'était pas des mieux. Certes, lorsqu'il le voulait, il pouvait se concentré sur une unique chose et entendre seulement celà mais c'était un travaille qui demandait beaucoup de concentration, concentration que Valentin ne pouvait pas toujours avoir.
Andréa se tourna vers Valentin et lui demanda la même chose qu'elle lui avait demander à l'arrivée des élèves. Celui-ci aquiesta sans attendre, posa soignement ses couvert, s'éssuya la bouche avec le coins de sa serviette et attendit quelque instant.
Sa soeur se leva, intérompant les conversations et le repas des élèves. Elle leur parla, les disputant presque. Les jeunes gens n'avaient pas été très silencieux, ce n'était pas faux et certaint élèves même ne se comportaient pas correctement mais Valentin ne l'avait pas remarquer plutôt. Il aurait dût, mais il était plongé dans ses pensées, entrain de songer au passé, comme d'habitude. Il s'en voulait de ne pas agir correctement ni attant.
La directrice fini par clore le repas et par quitter la salle. Valentin se leva à son tour ,après que la mésange bleue soit retournée sur son épaule. Il s'avança et, avant de déscendre de la petite estrade où se trouva la table, il regarda tout les élèves.

"Vous pouvez vous lever et regagnez votre dortoir imédiatement, et en silence. Je ne veux pas entendre le moindre bruit. Ne veillez pas non plus dans vos chambres. Je compte sur vous pour être calme et obéïsant. Et, croyez moi, je serais, à un moment ou un autre, si vous avez respecter les consigne ou non."

Il finit par descendre de l'estrade et resta, imobile, les bras croisés sur son torse, attendant que les élèves sortent pour qu'il puissent les suivre sans dificulté et surtout, pour que tout le monde quitte ce lieux qui sera fermé et réouvert seulement le matin, lors du petit déjeuné...

Lëanë, lorsqu'elle entendit la voix autoritaire, glaciale et surtout chargée de reproches de la directrice, l'image de son regard poignardant lui revint, lancinant. De plus, ses paroles n'adoucissaient pas son ton, bien au contraire : elle leur faisait déjà d'autres reproches. Lëanë se sentit encore plus mal, mais cette fois-ci de gêne : elle avait peur que si cela venait aux oreilles de sa mère, celle-ci l'accuse d'influencer ses camarades... Elle ne voulait plus décevoir la noble norvégienne qu'elle se devait d'appeler "Madame", et surtout, surtout, ne pas être renvoyée, pouvoir encore voir ses amis, qu'elle venait à peine de se faire.

Heureusement, elle réussit à faire attention aux autres paroles de la jeune femme, malgré le bourdonnement de plus en plus intense de ses oreilles, et... le seul point positif était qu'elle annonçait la fin du repas et l'heure du coucher. La jeune fille retint de justesse un soupir de soulagement : il lui était nécessaire de prendre du repos. Alors, elle regarda les autres afin de voir s'ils sortaient de table, n'osant pas faire le premier pas. Mais le co-directeur se leva, et leur ordonna de sortir, très clairement, cette fois-ci, en montrant lui-même l'exemple et leur signifiant qu'il leur fallait faire de même.

Alors, la pâle fillette se leva de table, bien droite afin de ne pas commettre d'autres erreurs, ajusta ses couverts dans son assiette de la manière qu'on lui avait apprise, reposa sa serviette après s'en être servie de manière parcimonieuse, ajusta les plis de sa lourde robe, et prit la direction du dortoir des filles.
Un autre soir, elle aurait tenté de traîner un peu, de lire, surtout, mais... elle avait du mal à marcher droit, et se sentait si fatiguée qu'elle doutait de pouvoir ôter ses vêtements. Et il y aurait des escaliers à monter... Enfin, tant pis ! Elle ferait avec, n'est-ce pas ? Nytsua la soutenait d'ailleurs par pensée :

*Tu vois, tout va s'arranger, tu feras un bon somme et seras en forme demain matin... Pour ta première journée de cours, te rends-tu compte ?
Au fait, tes amis sont très sympathiques, ainsi que leurs daemons. Sayky est un peu étrange, à fixer Elelonor ainsi, mais cette dernière est très aimable... quoiqu'on devine facilement à son langage qu'elle a été chez les Gitans, non ? Mais ce n'est pas un problème, au contraire ! comme ça, tu...*

La petite hermine la distrayait ainsi de ses sombres pensées, l'empêchant de penser à la directrice, qui lui faisait tellement peur, à ses malaises à répétition, à sa mauvaise conduite...

Le co-directeur ce leva et leur 'ordonna', surment à sa manière, de retourner dans leurs dortoirs. Seulement, Eliot ne savait pas où ils se trouvaient. Peut être devrait-il demander à l'autre jeune homme qui était là. Tien ça lui faisait pensé qu'il ne lui avait pas encore adressé la parole. Enfin, il aurait tout le temps qu'il lui faudrait pour ça demain. Winstown se leva, regardant son assiette pleine avec envie, si seulement il arrivait à suptulisé quelque chose...non, il n'avait encore jamais volé, pourquoi le ferait-il aujourd'hui? Un sentiment de honte s'emparra de lui, oui, c'était honteux de pensé à sa, onteux de penser ne serait-ce qu'un seule instant à prendre de la nourriture. Non, Eliot ne le ferait pas, il ne se sentait pas non plus assez courageux pour ça... Il fini donc par ce lever, passant délicatement une jambe après l'autre par dessus le banc. Il attrapa la solide poignée de sa valise, qu'il avait toujours avec lui, et tira de toutes ses forces espérant soulever son bagage mais en vint...Si seulement quelqu'un pouvait l'aider...

# Eleonor, est-ce que tu peux m'aider s'il te plait? J'arrive pas à soulevez ma valise... Eleonor? Aller quoi! Arrête de bouder et aide moi s'il te plait! #

Rien à faire, le deamon ne répondait pas et ne bougeait même plus. Eliot chercha des yeux une personne capable de l'aider. L'autre garçon peut être, ou alros le directeur ? Oui, Arwen était premièrement un fille, et en aucun cas Eliot laisserait une demoiselle porter ses affaires et deuxièment, le premier contacte qu'ils avaient eut n'était pas forcément très...amicale. Mais il ne pouvait pas non plus demander de l'aide au directeur, non non non! Et puis ce n'était pas un travail pour lui, un directeur n'aide pas les élèves, un directeur ne porte pas ses affaires et encore moins celles des autres.
Eliot tenta une dernière fois de soulever sa valise, Eleonor ne montrant comme signe de vie, seulement ça respiration monotone et silencieuse... Au grand bonheure de Winstown, la valise décola du sol, mais de quelques centimètres seulement, un ou deux tout au plus. Le jeune garçon avança rapidement d'un pas, ne pouvant pas progresser rapidement à cause de la valise qui le gênait. Après une dixaine de pas, la valise tomba au sol dans un bruit sonor. Descidement, il serait obliger d'oppéré comme la première fois, c'est-à-dire en la faisant glisser au sol. Mais il ne voulait pas, il avait peur de rayer le sol froid, même avec un tissus plassé sous la valise...Comment pouvait-il faire alors?

Lëanë sortit de la salle en première, sans jeter un regard derrière elle, car elle devait prendre garde à regarder où elle marchait, afin de ne pas zigzaguer ou trébucher. Aussi, elle ne vit pas Eliot qui avait du mal avec ses bagages à lui - car il n'avait pas pu les monter, comme il était arrivé en retard.
Par contre, Nytsu tourna la tête à un instant, et aperçut les efforts désespérés que le garçon tentait de mettre en oeuvre afin de pouvoir déplacer sa lourde valise. Elle chuchota donc à son humaine, en interrompant ainsi le flot de pensées qu'elle lui réservait jusqu'alors :

"Lë ! Il y a Eliot qui semble avoir du mal à porter sa valise... tu veux qu'on l'aide ?"
"Je... (la fillette devait faire un grand effort pour parler) je veux bien, mais déjà que je n'arrive pas à marcher correctement, comment pourrais-je lui être d'une utilité quelconque ?"
"Si tu veux bien, je peux l'aider, moi... Tu n'auras qu'à marcher à côté..."
"Oui, mais, de toute façon, nous ne pourrons pas l'aider jusqu'au bout, car il va dormir dans le dortoir des garçons..."
"Un peu, c'est mieux que rien, non ?"
"Comme tu veux..."
"D'accord, attends-moi là !"
"Non ! Si tu vas trop loin, je me sentirais encore plus faible, s'il-te-plaît, reste avec moi !"
"Mais sinon, tu seras obligée de revenir un peu en arrière, ça risque de te fatiguer encore plus !"
"Tant pis, mieux vaut ça !"
"D'accord..."

Au cours de leur discussion, elles s'étaient arrêtées de marcher, et maintenant, elles revenaient en arrière, en direction du garçon. Arrivées devant lui, Nytsua prit la parole, car Lëanë souhaitait économiser ses quelques forces qui lui restaient :

"Veux-tu que nous t'aidions, Eliot ? Lëanë est un peu fatiguée et mal à l'aise, mais je peux tenter de t'être utile..."

Arwen fit de grands efforts pour se calmer. Lorsqu'elle y parvint, ses grandes ailes rose se plièrent et commencèrent à disparaitre. Lorsqu'elles furent de nouveau invisibles, le regard d'Arwen balaya entierement la salle. Puis, ses yeux se posèrent sur la directrice qui s'était levée pour parler. Elle fit un discour claire et sec. Cela fit frissoner la jeune fille, qui se promit d'être sage, et digne de la prestigieuse école qu'était Jordan.
Quant à Sayky, lui, détacha enfin son regard de la poche ou s'était réfugié le deamon du jeune garçon se nommant Eliot Christopher. Lorsque la directrice quitta les lieux, il était lui aussi, comme Arwen, secoué par les propos de Mlle Sirka.
Arwen voulut s'excuser auprès d'Eliot et de son deamon par rapport au comportement quelque peu impoli de Sayky mais, elle fut coupé dans son élan par le jeune frère de la Directrice, qui s'était levé à son tour, et les avaient invités à rejoindre leur dortoir dans le calme le plus complet.
Elle n'attendit guère longtemps pour quitter ce lieux ou elle avait rencontré ces premiers ennuis à Jordan Collège....

Finalement, le jeune garçon avait descidé de re-faire glisser sa valise. Il l'avait alors posé à plat puis l'avait ouverte juste assez pour pouvoir sortir le bout de tissus bleu qu'il avait utilisé précédement pour transporter son bagage. Alors qu'il refermait sa valise, le tissus étalé au sol, il entendit une voix familière. Il redressa la tête et aperçu Lëanë et son deamon. Ce n'était aps la jeune fille qui avait parlé, non, c'était le deamon, Nytsua. Eliot sourit, reconaisant, mais il ne pouvait pas accepter cette aide, bien qu'elle serait la bienvenue. Non, il ne pouvait pas laisser une jeune demoiselle porter sa valise et encore moins un deamon. Le seul deamon dont il accepterait volontier l'aide serai le sien, sa moitiée qui continuait de bouder dans la poche, qui restait muette et qui ne bougeait pas.

- Merci mais je ne peux pas accepter cette aide. Désolé. Merci encore, mais je me débrouillerais seul.

Il regarda le deamon, l'air désolé mais aussi avec un sourir chaleureux, pour la remercier, encore une fois. Il avait bien remarquer que Lëanë ne se sentait pas spécialement bien alors il vallait mieu pour elle qu'elle garde toute son énergie et s'était pareil pour Nytsua. S'il arrivait quelque chose à son humaine, elle pourrait au moins l'aider elle. C'était ça, le plus important.
Winstown força une dernière fois sur ses bras pour soulefer sa valise après l'avoir redressé. Il la dépossa sur le tissus et la coucha. Il attrapa enssuite deux coins de l'étoffe et commença la tirrer mais il s'arrêta, pour attendre la demoiselle qui avait quand même fait demi-tour pour venir lui proposer de l'aide.

- Celà vous derrange si je vous accompagne? Et puis comme ça, si vous savea msi surtout si ça ne vous pose pas de problème, pourrez vous me dire où se trouve plus ou moins les dortoir des graçon?

Eliot sourit encore une fois, à croire qu'il ne faisait que ça. Mais il aimait sourire, il ne souriant pas non plus inutilement. Oui, il souriait parce qu'il éait heureux, parce qu'il était en confience et parce que quand on lui sourit, à lui, sa ne le rend que plus heureux, alors pourquoi ça ne serait pas la même chose pour les autres?

Le Co-directeur attendait, patiemment, que tout les élèves quitte la salle pour aller lui même se reposer. Ce qu'il pensait ce faire rapidement pris beaucoup plus de temps que prévu. En effet, il y avait encore quelque élèves qui traînaient. L'un n'arrivait pas à porter sa valise, l'autre voulait l'aider.
deux jeunes enfants envoyé dans cette école pour aprendre, aprendre et ensuite travailler, ce débrouillé dans la vie une fois adulte.
Valentin avait entendu, malgrés lui, la conversation qui avait eut lieu entre les deux jeunes gens encore présent. Celui ci ne put s'empêcher de s'aprocher des deux gamins. sans discuté, il attrappa d'une main la valise qui parraissait si lourde mais qui ne l'était pas tant que celà et ramassa le but de tissu qu'il tendit gentiment à Eliot. après quoi, il passa son bras autour des épaules de la jeune fille qui accompagnait le jeune garçon et la poussa délicatement, la soutenant. Le jeune homme avait bien remarqué la santé fragile de la demoiselle. Celà serait fort domage qu'elle tombe malade dès le premier jour.
Il n'avait toujours pas parler mais se déscida enfin de le faire, regardant les deux jeunes personnes avec ses yeux verts qui lui donnait son air encore plus doux et calme qu'il ne l'était déjà.

" Laissez moi vous montrer le chemin pour vos dortoir, Monsieur Winstown. Quand à vous, Mademoiselle G'Zhaï, regagnez le votre sans vous soucier d'une autre santé que la votre et allez vous reposer."

Bien que ce fut dit sur un ton des plus gentil et amicale, ce n'était pas des proposision, ni des conseils. C'était bien des ordres que les deux élèves devraient respecté sans bronchés. Ils avaient reçus la consigne d'aller se coucher, et ils ne devaient pas désobéir. Ce serait bien fâcheux, si celà arriverait...
Il posa sa main à plat sur le dos de Lëanë et la poussa, pour l'intivé à avancer et regarda Eliot, donnant un très légé coup de tête vers la porte encore ouverte, pour l'insité à les suivres...